1. |
Lettre au Monde
05:45
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Pour rêver,
on s’est vu
crever d’envie,
braver nos vues.
On s’est dit
de belles idées,
pris des dieux
pour céder.
J’étouffais,
T’as tout fait pour.
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2. |
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You wait for me near the river.
I bring you a flower ;
Lily-flower and a yarrow,
To enfold your sorrow in a bunker.
Cause your breathings
Are praises.
(you said)
Man is a lie,
From his head to the ground.
Throw away a pound,
He’ll break your heart.
All breathings
Could be praises.
All breathings
Should be praises.
Cause we all live and die,
Search the good ways,
Hate the goodbyes.
And if the sea, in its depth can reveal a land,
In the air, please spread...
All breathings
Should be praises.
All breathings
Will be praises.
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3. |
Avoir
03:38
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Loin d’imaginer nos erreurs
Celles de nos silences sans regards
Ce lundi m’a gêné et mon cœur
Seul de ton absence est ringard
Avoir peur de te perdre m’a éloigné
Je prie pour te voir.
D’ici, la pluie d’été semble fraîche
Or nous nous y lovions sans relâche
Ainsi nos nuits étaient si franches
De l’amour y pleuvait en flèches
Avoir peur de te perdre m’a éloigné
Je prie pour te voir.
Avoir peur de te perdre nous éloignait
Je prie pour t’avoir...
perdue que quelques heures...
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4. |
Hope we'll see
04:44
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Underhand leaders ! Easy !
All we need is our land, healthy !
Honestly babe, trouble is deep.
Our nest is traded to sate the greed.
That is badly fortunate
For our simple brains.
Can’t you see ?
They’re going gently round to bend and then...
Humanity is dead, lost in the sea,
Since a grain of sand is greater than a bee.
That is badly fortunate
For our simple brains
Hope we’ll see...
They’re going gently round to bend and then...
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5. |
Aimer
04:01
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Aimer n’a pas su me dire les manières
D’envoyer aux tiens mes espoirs
Jamais la lune ne renierait l’hiver
Ne vendrait demain pour un soir
Veux tu que l’on s’aime encore
Maintenant que l’on connait nos torts ?
L’un dans l’autre, il n’est jamais trop tard...
Aimer n’a pas su tenir ses prouesses
Quand loin de mes mains, ton coeur se lasse
Déménager au huis de ta tendresse
M’emballait bien, depuis l’envie ne passe...
Veux tu que l’on s’aime encore
Maintenant que l’on connait nos torts ?
L’un dans l’autre, il n’est jamais trop tard...
J’aime, et ta peau nue et tes rires, toi toute entière
Mais aimer n’a pas vu venir son contraire
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The Orchid Le Mans, France
The Orchid est une fleur sauvage, une aube d’automne quand la brume envolée par le vent du Nord.
Mais c’est aussi
une idée, celle d’émouvoir, de se rappeler d’où l’on vient et pourquoi l’on va.
Quatre musiciens, comme nécessaires pour se rappeler l’évidente sensualité des saisons.
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